• Premièrement, travailler quand nous sommes encore aux études nous permet de développer une certaine autonomie. En effet, gagner notre propre argent aide à mieux comprendre la valeur de ce dernier. Quand nous étions enfants, il était facile d'obtenir ce que l'on désirait, car il nous fallait simplement demander gentiment à nos parents de nous l'acheter. Il était donc facile de s'imaginer que l'argent pouvait tomber du ciel, car nous ne comprenions pas comment il était difficile à gagner. En travaillant, nous pouvons mieux comprendre que l'argent que nous méritons en travaillant est précieux et que les dépenses plus ou moins nécessaires sont à éviter. Par conséquent, travailler nous montre à bien gérer notre argent. Puisque c'est le notre, nous n'avons pas besoin de nos parents pour nous donner la permission d'acheter quelque chose, mais avec cette liberté vient des responsabilités.

    Deuxièmement, concilier le travail et les études nous prépare au monde du travail. Une bonne gestion de son temps est la clé pour réussir dans ces deux domaines. Ainsi, si nous sommes capables de gérer notre temps à cet âge, il n'y a pas de doute que nous pourrons le faire quand nous aurons des enfants. De plus, travailler à un jeune âge permet de développer de nouvelles aptitudes qui seront probablement nécessaires plus tard. Donc, si nous sommes capables de tout faire cela en étudiant, la vie future sera certainement plus simple.


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  • Monsieur Mounaqui,

    De nos jours, il y a beaucoup de personnes atteintes de maladies contagieuses, graves ou inoffensives, qui se propagent à travers le monde. De ce fait, les chercheurs sont maintenant capables d'inventer des vaccins pour contrer presque toutes les nouvelles maladies. Pour rejoindre un plus grand nombre de gens, il existe des vaccinations de masse qui consiste à vacciner des régions complètes. Mais est-ce un moyen efficace d'attaquer les maladies? La réponse est oui, car c'est facile d'accès, ça rassure les gens et ça peut empêcher les épidémies.


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  • Madame Nadine Vachon,

    Suite à la lecture de votre lettre ouverte sur les écologistes extrémistes,  j'aimerais vous faire part de mon désaccord envers l'opinion que vous propagez dans ce texte. 

    Je vois que vous êtes une personne très active dans la société, pour qui il est important de poser, au quotidien, des petits gestes qui font toute la différence pour notre chère planète. Mais mon interrogation est la suivante. Croyez-vous que vous en feriez autant pour l'environnement, si les médias ne vous avaient pas sensibilisé, quelques années auparavant, de l'importance de la protection de la Terre? Je crois malheureusement que non, car pour faire réagir les gens, il faut tout d'abord réussir à les choquer. Le meilleur exemple est celui de la cigarette. Pour faire tomber le mouvement des fumeurs, les médias ont misé sur les effets néfastes du tabac pour la santé. Résultat : le nombre de fumeurs a énormément diminué depuis le début de la campagne de sensibilisation. Pour en revenir à votre lettre, je suis d'accord sur le fait que les médias cherchent à nous culpabiliser, mais ils ne le font pas sans raison. L'heure est grave, et nous sommes très près d'atteindre le point de non retour pour la planète, donc il faut agir rapidement, et c'est pourquoi, Madame Vachon, que les médias n'y vont pas de mains mortes.

    J'espère avoir réussi à vous faire comprendre l'idée derrière les médias trop insistants.

    Sincèrement,

    Catherine Geoffroy


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